Après un an et demi d’enfermement, nous avons célébré la fête de Mater avec une messe dans le pensionnat de St. Theresa Girls Hostel, où Sr Rita Pinto RSCJ a chanté l’hymne, « Vous avez beaucoup de portraits, Mère ».

Un jour, une pensée m’a traversée l’esprit : vivre pour soi est normal, mais vivre et faire quelque chose pour quelqu’un d’autre est un don de Dieu. Ces mots m’ont accompagnés dans le choix de mon mode de vie et, après avoir terminé mes études, j’ai rejoint les Sœurs du Sacré-Cœur.

Comme la plupart des familles catholiques, nous avions des images encadrées du Sacré-Cœur de Jésus et du Cœur Immaculé de la Mère Marie sur l’autel. J’ai ressenti une connexion profonde avec l’image du Sacré-Cœur ; j’avais l’impression que Jésus me parlait et j’étais souvent émue aux larmes par la profondeur de cette connexion.

Plusieurs fois, j’ai entendu mes parents dire « Tujekhoshi jau Deva » (Que ta volonté soit faite, ô Dieu). Quelque part, cela s’est ancrée au plus profond de moi et m’a aidée dans mon discernement. J’ai appris à attendre que Dieu réponde.

Le Dr. Mudita Sodder RSCJ réfléchit sur la signification de la fête de la Transfiguration le 6 août, et sur la façon dont nous pouvons embrasser la magnificence du Divin dans nos vies quotidiennes.

Les communautés du monde entier passent leur bonjour à l’ensemble de la congrégation à l’occasion de la Journée de Sainte Madeleine-Sophie.

Les crises de proportions inédites, comme la pandémie actuelle, sont porteuses de perturbations et de chaos. Cette année, Pâques nous appelle à prendre l’initiative face au futur émergent.

L’histoire de ma vocation est un vrai conte de fées : tout était écrit, du début jusqu’à la fin.

Lorsque j’ai choisi de répondre à l’appel à la vie religieuse, j’ai éprouvé un réel sentiment de paix et de confiance, sachant que Dieu était à l’œuvre dans tous les obstacles qui s’opposaient à mon choix. Je ne peux que m’émerveiller de tout ce que Dieu a fait et fait encore pour moi.

Quand je songe à ma vie en tant que Religieuse du Sacré-Cœur (RSCJ), je m’aperçois que c’est Dieu qui m’a appelée.