Parmi les histoires racontées, on retient notamment celle de la vie d’une jeune femme médecin du Rwanda, celle de deux sœurs qui ont continué d’enseigner en pleine crise syrienne, celle d’une jeune femme australienne qui s’est engagée à agir en faveur des femmes cambodgiennes victimes de la traite, ou encore celle d’une tutrice d’orphelins du Burundi qui a déclaré : « L’amour a toujours le dernier mot ».
L’événement a été coorganisé par la Fondation Fidel Götz, le Service Jésuite des Réfugiés et Caritas Internationalis.
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Province |Maison Mère