Cartes Postales du passé : Le Jalon de Poitiers
En 1806, Sophie Barat se rend à Poitiers avec Henriette Girard. Elles y ouvrent le premier noviciat du Sacré-Cœur avec Lydie Chobelet, Joséphine Bigeau et Thérèse Maillucheau.
Deux femmes de la vision et le courage se tiennent à l'origine de notre Congrégation, les femmes qui ont vécu en réponse à l'Esprit, à l'écoute des besoins de l'époque, ouverts aux défis de l'avenir.
En 1806, Sophie Barat se rend à Poitiers avec Henriette Girard. Elles y ouvrent le premier noviciat du Sacré-Cœur avec Lydie Chobelet, Joséphine Bigeau et Thérèse Maillucheau.
Après la fondation de la Société à Amiens, la communauté de Sophie Barat et de ses compagnes ont fusionné avec la communauté des Sœurs de la Visitation de Sainte Marie d'En Haut à Grenoble.
La province BFN et le Centre Sophie Barat de Joigny ont réalisé cette vidéo qui raconte merveilleusement bien l’histoire de Madeleine Sophie et de la fondation de notre Société.
Le 17 octobre 1801 à Amiens, SMSB et deux compagnes fondent la première Communauté et la première Ecole de la Société du Sacré-Cœur, officiellement fondée le 21 novembre 1800 à Paris, en rue de Touraine (Maison Duval).
« Sophie Barat fit preuve d'un esprit inventif et sa mobilité face aux épidémies, et son sens pratique l’amena à prendre vite des décisions ». En savoir plus sur la réponse de Sophie aux épidémies de son temps dans cette réflexion de Phil Kilroy.
En réponse aux questions sur la châsse de Sainte Madeleine Sophie, nous avons mis en place ce résumé en photos des événements après sa mort.
Les écrits complets de Rose Philippine Duchesne, publiés en français en 2017, sont maintenant publiés en anglais par la Société du Sacré-Coeur.
Les récents rapports du Chapitre général ont attiré notre attention sur les autres passagers qui ont traversé l’Atlantique avec Philippine de mars à mai 1818. Voici quelques informations concernant les quatre autres RSCJ et certains des autres passagers.
Jeune fille douée intellectuellement, Janet était la plus jeune des 13 enfants du Recteur Anglican de Cottesmore, dans le Rutland, Angleterre. Comme il était courant à l’époque dans sa classe sociale, elle fut éduquée à la maison où elle eut la chance d’avoir comme précepteurs des enseignants allemands et suisses bien formés, qui lui enseignèrent le français et l’allemand et avec lesquels elle étudia la philosophie, les mathématiques et la littérature.
Anna du Rousier est née le 20 de décembre 1806 en Poitou, France. Elle entra dans la congrégation à 17 ans, en 1821 : elle ne mit jamais de côté son désir de voyager et d’être missionnaire. Après 27 ans de labeur au Chili, Anna meurt le 28 janvier 1880 à Santiago : elle a 74 ans. Lors de sa dernière conférence aux religieuses, elle avait dit : « N’ayons qu’une seule pensée : glorifier le Cœur de Jésus et l’aimer. Telle est notre seule raison d’être ; quelle consolation que celle de savoir que tout ce que nous faisons n’a pas d’autre fin ! Devenez des saintes, mes sœurs, devenez des saintes : vous ne devez pas avoir d’autre préoccupation ».